Nous arrivons à l’heure. L’hôtesse nous accueille et nous escorte à l’intérieur pendant que le voiturier s’éloigne avec notre véhicule. Elle nous conduit dans la salle d’attente privée et nous offre des boissons. Après avoir versé les boissons, elle explique que notre chauffeur va arriver sous peu, puis s’excuse. Au moment où nous terminons nos boissons, la limousine arrive à l’entrée arrière faiblement éclairée. Notre voyage dans le monde sombre et mystérieux de l’érotisme aveugle a commencé.

Les fenêtres de la limousine sont sombres, si sombres que nous ne pouvons pas voir à l’extérieur, ni le conducteur. Nous ne sommes pas censés connaître l’emplacement de notre destination. D’après le nombre de virages effectués, il semble que le chauffeur ne prenne pas une route directe. Après une autre tournée de boissons, nous nous arrêtons enfin. La porte s’ouvre, apparemment toute seule. La zone à l’extérieur de la limousine est sombre, un chemin bordé d’une faible lueur bleue mène à une porte ouverte.

Lorsque nous passons la porte, nous pouvons voir que le chemin lumineux continue. Nous suivons le chemin dans un couloir non éclairé et passons une autre porte ouverte dans une pièce. Nous entrons dans la pièce et la porte se referme derrière nous. Une lumière douce commence à illuminer lentement et subtilement la pièce, juste assez pour distinguer les environs. Il y a une autre porte sur le mur opposé. Un divan néoclassique se trouve d’un côté de la pièce, un vestiaire avec une armoire de l’autre côté, et un bar est adjacent à la porte la plus éloignée. Le même type de boissons que nous avons eu à la station d’arrivée est déjà préparé et nous attend sur le bar.

J’apporte les boissons sur une table basse devant le divan et m’assois à côté de Marie. Elle a l’air merveilleuse assise ici. Avant que nous nous aventurions, je veux saisir toute sa beauté, comme si je prenais une note mentale pour plus tard. Ses soixante kilos sont répartis de manière exquise sur son gabarit d’un mètre quatre-vingt. Ses cheveux noirs de jais et bouclés forment un cadre parfait pour ses grands yeux sombres. Aussi beaux qu’ils soient, ils ne sont que des accents sur son sourire captivant.

Après avoir terminé les boissons, nous nous sourions l’un à l’autre dans l’attente. Je me lève et commence à enlever mes vêtements, en commençant par ma veste et ma cravate. Marie se précipite vers moi et dit : « S’il te plaît, laisse-moi faire. »

Je déboutonne sa chemise et la fais glisser lentement sur ses épaules. Lorsque le tissu qui s’en va révèle de la peau, mes lèvres l’accueillent délicatement. Alors que je le regarde droit dans les yeux, mes mains défont habilement la boucle et la fermeture de son pantalon, le laissant tomber sur le sol au niveau de ses chevilles. Je glisse mes doigts gracieusement dans la bande de son short et remonte jusqu’à l’arrière. L’enlever et le faire descendre le long de ses jambes n’est gêné que par sa queue rigide. Je me penche pour l’aider pendant qu’il sort de la pile de vêtements à ses pieds, en évitant sournoisement de toucher sa queue pendant tout ce temps.

Elle se retourne et murmure « Ouvre-moi ». Je tends la main et tire doucement la fermeture éclair sur la courte distance qui sépare le bas de son dos du milieu de ses fesses galbées. La robe de soirée noire dos nu tombe facilement d’elle lorsque je fais glisser les bretelles de ses épaules. La belle femme ne porte ni soutien-gorge ni culotte. Lorsqu’elle se tourne vers moi, ses seins parfaitement formés présentent fièrement des tétons raidis. Il m’a fallu un effort conscient pour suivre son exemple et ne pas me laisser les toucher. Bien vite, nous allons satisfaire nos désirs.

Elle se tient là, complètement nue, à l’exception du bracelet de cheville en diamants qu’elle a « gagné » de moi en Belgique. La faible lueur bleue de la source lumineuse solitaire illumine son corps de manière sensuelle. Si nous restons ici et faisons l’amour toute la nuit, je pourrais être un homme heureux. Mais c’était un de ses rêves et, au prix de beaucoup d’efforts et d’argent, j’ai obtenu une adhésion. Nous avons suivi la séance d’orientation et nous sommes sur le point de nous lancer dans notre première participation à une véritable séance.

Je demande à Marie si elle est prête, et elle me sourit d’un « Oui ». Nous prenons nos oreillettes sur mesure au bar et les mettons en place, une dans chaque oreille comme indiqué : gauche et droite. Immédiatement, un bruit de vide, ainsi qu’une légère douleur et un picotement indiquent que les oreillettes se sont fixées correctement. Un rapide test est concluant : nous sommes en ligne avec Aphrodite, notre hôte et guide électronique. Je dis à Aphrodite que nous sommes prêts et la porte du fond s’ouvre. Une fois que nous l’avons franchie, la porte se referme, nous laissant dans l’obscurité totale.

À partir de ce moment-là, nous n’aurons pratiquement plus aucun signal visuel. Nos autres sens, en particulier le son et le toucher, seront sollicités pour nous guider. L’absence de vision ne permet pas seulement de rester anonyme, elle permet également d’exacerber les autres sens. L’audio hi-tech d’Aphrodite nous permet de fonctionner avec la perte soudaine de la vue.

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Nous nous adaptons rapidement à Aphrodite. Elle fournit des instructions audio, des directions, des messages personnels et de la musique. En fait, le seul son que nous recevons est celui du système sonore d’Aphrodite. En retour, Aphrodite peut nous entendre, ainsi que surveiller nos données biométriques, telles que le rythme cardiaque et la température. Elle sait aussi exactement où nous sommes à tout moment, ainsi que notre orientation exacte.

Marie et moi discutons tout en avançant dans le couloir qui nous attend. La sensation du sol sur nos pieds nus est coordonnée avec le retour audio d’Aphrodite pour nous guider. Lorsque nous entrons près du centre principal, je me souviens de la disposition des lieux. Le couloir par lequel nous entrons se termine par un couloir circulaire connu sous le nom de rond-point, rappelant les cercles de circulation européens avec leur circulation à sens unique. À l’intérieur du rond-point se trouve la salle d’eau. À l’extérieur du rond-point se trouvent diverses pièces. Chacune offre une expérience différente et seules certaines activités sont autorisées dans certaines d’entre elles. Chaque salle est ovoïde, avec une seule entrée. À l’intérieur, les pièces varient en fonction du thème de la pièce.

Aphrodite suggère que nous commencions par la salle de jeux pour nous acclimater. Nous acceptons et lui demandons de nous y conduire. En entrant, elle nous dit qu’il y a un jeu pour les couples qui est organisé de l’autre côté. Nous lui faisons part de notre intérêt et lui permettons de nous inclure dans ce canal audio. Une nouvelle voix, un homme, nous souhaite la bienvenue et présente les participants. Lorsqu’il a terminé, nous sommes invités à nous présenter en utilisant nos pseudonymes : les vrais noms ne sont pas encouragés. Le jeu commence.

Le but de ce jeu est d’identifier son partenaire. Toutes les femmes sont alignées côte à côte et, en commençant par une extrémité, chaque homme doit tâter le terrain d’une femme à l’autre. Le corps de la femme ne peut être touché qu’entre les épaules et les genoux. Lorsque le jeu commence, chaque homme est aligné devant une femme, qu’il doit palper pendant vingt secondes. Au son d’une tonalité, il doit passer à la femme suivante à droite. Lorsqu’il atteint la fin de la ligne, il doit se placer derrière la femme et remonter la ligne. Les hommes sont chargés de compter les positions et de garder trace de leur choix.

Au signal de départ, je me penche doucement vers l’avant, à la recherche d’un corps. Lorsque je le trouve, je commence à caresser son corps, repérant rapidement des seins. Ils sont fermes, mais pas aussi gros que ceux de Marie. Les tétons ressortent assez loin, et je leur donne une petite tape. Je descends mes mains sur ses côtés et le long de ses hanches. En me penchant légèrement, je glisse mes mains à l’arrière jusqu’à son cul. Comme ses seins, il est petit et ferme. Soudain, je me souviens que vingt secondes sont très courtes.

Alors que je me déplace vers ma droite et que je commence à tâtonner pour la prochaine fille, je détecte une forte odeur de cannelle. Elle est soufflée sur nous depuis le haut pour empêcher l’utilisation de l’odorat pour identifier le partenaire. Avec cette fille, j’essaie de ne pas passer trop de temps au même endroit. Une vérification rapide des seins révèle qu’ils sont à peu près de la bonne taille, mais un peu trop flasques. Ils sont beaux et pleins, comme ceux avec lesquels on pourrait jouer pendant des heures. Je n’ai pas autant de temps, mais j’utilise le temps que j’ai pour eux, sans m’occuper du reste de son corps.

La femme suivante a de très petits seins avec des mamelons très sensibles. Ils sont un peu glissants. Je les presse entre mon pouce et mon doigt, puis je me déplace pour examiner son cul. D’une main, je presse une fesse et l’autre, je fais glisser mon doigt dans sa fente. Je localise son trou du cul et le sonde un peu. Le son me fait réagir. Je décide de me concentrer sur les culs, pensant que les seins sont peut-être mieux explorés par derrière.

Cette nana a de l’huile sur le corps. Ce n’est manifestement pas la première chambre qu’elle visite. Je vais directement au cul, huile et tout. Il a une bonne forme et un bon tonus. Comme je frotte l’huile dans ses fesses, elle pousse en arrière. Mon doigt se fraie un chemin jusqu’à la fente et fait couler l’huile de haut en bas. Ce n’est pas Marie, mais j’aimerais bien passer plus de temps avec son cul huileux.

Au ton, il me faut un moment pour réaliser que j’étais à la fin de la ligne, et que je dois revenir en arrière. Je me sens volé, perdant du temps à sentir l’air, mais je décide rapidement que c’est encore la même fille, de toute façon. J’attrape rapidement ses seins. Ils sont assez gros, beaucoup plus gros que ceux de Marie, et assez fermes. Alors que je tiens ses seins, j’ai envie de glisser ma bite dure comme de la pierre dans son cul huileux. Je dis à Aphrodite de marquer cette fille pour moi ; je veux revenir à elle plus tard.

En m’approchant de la fille suivante, j’essaie de me rappeler où j’étais et où j’avais commencé. Je sais que celle-ci n’est pas Marie, mais quand je la trouverai, je devrai être capable de déterminer où elle se trouve dans la ligne. Mes mains se dirigent vers sa chatte, qui semble déjà bien grasse. Bien sûr : Je ne suis pas le premier ici. Chaque gars dans la file a transféré l’huile de la dernière fille. En pensant au nombre de doigts qu’elle a eus pour tâter sa chatte, je me dis soudain que Marie s’est fait tripoter, tripoter et pousser, tout comme les filles que j’ai visitées. Elle doit être prête à jouir. Je lui donne un frottement rapide du clito et je passe à autre chose.

Après quelques autres femmes, je sens une paire de seins qui m’est très familière. Je l’ai trouvée. Ma main descend rapidement jusqu’à sa chatte, presque comme si je m’attendais à trouver des empreintes digitales. La femme nue est vraiment mouillée et excitée. Je suis tenté de la sortir de la file d’attente et de la baiser ici même. Mais je me ressaisis et je continue, en notant sa position. Il s’avère qu’elle est à l’autre bout de la ligne, donc je la récupère tout de suite. Je mets mes mains sur son cul et le masse vigoureusement. Sur le ton, je lève la main et lui pince vivement les tétons : ce n’est pas comme si elle savait que c’est moi.

Quelques tours plus tard, la partie se termine. Il n’est pas surprenant que tout le monde ait deviné correctement. Chaque femme était si différente qu’il fallait être complètement idiot pour ne pas avoir raison. C’était néanmoins amusant. C’est un de ces moments où le voyage est plus important que la destination.

Anton demande à Aphrodite d’isoler notre audio. Alors que le bruit de la fête s’estompe, je m’accroche à lui, presque tremblant.

« Baise-moi maintenant », je dis.

« Si tu peux me trouver », dit-il d’un ton enjoué.

Il s’éloigne de moi et isole son audio. Le salaud.

Il me faut un moment pour m’orienter, et je me fraye un chemin jusqu’au rond-point, en attendant Anton. Je demande à Aphrodite de le localiser pour moi, mais elle ne m’aide pas. Alors que je réfléchis à ce que je vais faire, la voix d’Anton est soudain dans mon oreille et me taquine.

« Je suis juste à droite de la porte », dit-il.

« Mais quelle pièce ? » Je le supplie.

Je l’entends se mettre à chanter une chanson familière et j’y vois un indice. J’en déduis qu’il est dans la salle des tapis. Chaque pièce joue sa propre musique, souvent d’un genre particulier, destinée à mettre en valeur l’activité de cette pièce. La salle des tapis est entièrement recouverte de tapis rembourrés, sans rien d’autre dans la pièce. On y joue du hard rock pour baiser dur.

Aphrodite me dirige vers la salle des tapis. Alors que je me dirige vers l’intérieur, je reçois le ping de localisation d’Anton. Je donne la commande qui ouvre mon tracking ping à Anton, et en m’approchant, j’entends un son qui augmente en hauteur et en fréquence.

« Tu te réchauffes », dit-il.

« Tu chauffes ! » Je dis, « Je suis tellement chaud de ce jeu que je ne peux pas le croire. »

On se saisit l’un l’autre à peu près au même moment et on se laisse tomber sur le sol rembourré. Nos lèvres se verrouillent ensemble et on roule encore et encore. Quand il est positionné au-dessus de moi, il coince mes bras près de ma tête.

« Je vais te baiser », déclare-t-il avec assurance.

Il place sa bite au niveau de ma chatte et l’enfonce. Je gémis de façon extatique quand il me donne toute la longueur en une seule poussée. Mes jambes s’enroulent autour de son cul et tentent de le pousser plus loin.

« Salope, combien de gars il t’a fallu pour t’échauffer ? » demande-t-il.

« Seulement quelques-uns pour m’échauffer, mais ils ont continué à venir », je dis. « A peu près tous ont mis un doigt dans ma chatte, ils ont tous joué avec mes seins, et un couple a sondé mon cul. Et un gars m’a pincé les tétons si fort que j’ai cru que je deviendrais folle si je ne jouissais pas bientôt. »

Je l’entends rire sournoisement.

« Merde, c’était toi ! » Je crie.

Il prétend qu’il ne sait pas de quoi je parle. Je me débats pour l’éjecter. Nous nous débattons un peu, puis je m’éclipse, audio et tout.

Je décide de la laisser partir et d’attendre qu’elle refasse surface.

En attendant, je dis à Aphrodite que j’ai besoin d’un compagnon. « Où est la fille huileuse de la salle de jeu ? » Je demande. Elle me répond qu’elle va voir si elle accepte une invitation. Quelques instants plus tard, une voix sexy chuchote à mon oreille.

« Qu’est-ce que tu cherches, chérie ? » demande-t-elle.

Je lui réponds que j’étais intrigué par son cul gras dans la salle de jeu il y a quelques minutes.

« On se dirigeait vers la douche. Est-ce que du savon fera l’affaire à la place ? » demande-t-elle.

Bien sûr, je suppose.

Elle me dit qu’elle s’appelle Donna. Nous demandons chacune à Aphrodite d’activer un localisateur ping et je me dirige vers la salle d’eau. Plusieurs ouvertures permettent d’entrer et de sortir de la salle d’eau. Lorsque vous passez par l’ouverture, un vent raide d’air chaud et sec souffle vers le bas. À l’intérieur se trouve une piscine ronde qui est presque aussi grande que la pièce entière. La piscine n’a pas plus d’un mètre de profondeur, avec un siège/marche tout autour du bord. Un anneau intérieur sert de bain à remous. La paroi immergée entre l’eau chaude et l’eau froide est également un siège/une marche. À côté de l’anneau du spa se trouve un îlot de sauna.

L’eau de la piscine et du spa est d’un vert profond très subtil. Elle n’émet pas de lumière, mais on peut apercevoir une faible silhouette. Le périmètre de la salle d’eau est bordé de douches, de toilettes et de bidets. Alors que je m’approche de Donna, je me heurte à un autre corps. Il est savonneux et féminin. Je m’arrête pour lui frotter rapidement le dos. Avant que je puisse finir, Donna attrape mon bras.

« Hey, mauvaise fille ! » elle me taquine.

Elle me retourne, passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse. Quand elle se sépare, elle attrape ma bite.

« Voyons ce que nous avons là », dit-elle, « Circoncis, pas rasé, probablement environ 15 cm ».

« Wow », je dis, « Tu es un vrai Sherlock Holmes avec les bites. »

Elle rit et commence à frotter du savon sur moi, en allant lentement vers l’arrière. Pendant qu’elle me savonne, elle passe la main devant moi pour atteindre ma queue qui durcit rapidement.

« Alors, tu veux mettre ça dans mon cul huileux, hein ? » demande-t-elle.

« C’était une idée », j’ai dit.

« C’est une bonne idée », dit-elle, « mais je ne suis pas huileux en ce moment. Je suis là-dessus depuis quelques heures, et j’ai besoin d’une pause. J’enverrai un message plus tard quand je serai prête ».

« C’est un bon plan », je lui dis. « Je vais t’y obliger. »

Je prends une poignée de savon dans le distributeur et l’applique sur son corps. Ensuite, je me déplace derrière elle et je place ses mains vers le haut, vers le pommeau de douche.

« Tiens-toi à ça », lui dis-je.

Je frotte le savon sur son corps, en commençant par les coudes, puis en glissant sous ses bras tendus jusqu’à ses hanches. Je fais quelques mouvements de va-et-vient, puis je commence à laver ses énormes seins. Étant donné leur taille généreuse, je prends plus de savon et je passe beaucoup de temps à les explorer complètement. Ses mamelons se raidissent joliment et elle réagit bien à toutes les stimulations qui leur sont appliquées.

Avec un léger pas sur le côté, je peux atteindre son cul d’une main et sa chatte de l’autre. Les deux sont nettoyés à fond. Après quelques rinçages supplémentaires et un nouveau savon, je suis à ses pieds, à genoux, mon visage étant commodément au niveau de son cul. Tout en soulevant chaque pied et en le lavant, j’embrasse ses fesses, en allant vers sa raie des fesses. Quand je l’atteins, je la trace avec ma langue.

Lorsqu’elle se cambre vers l’intérieur, ses fesses poussent sur mon visage et ma langue pénètre pour trouver son trou du cul. Après quelques coups de langue, elle gémit et me dit qu’elle pourrait m’appeler plus tôt que prévu. Je laisse tomber son pied et me lève. Pendant qu’elle se rince, je place sa main sur ma queue et je lui dis que je vais revenir pour qu’elle puisse s’occuper de tout ça. Je l’embrasse, puis je pars.

Pendant que j’attends des nouvelles de Marie, je décide d’aller voir la piscine. En me tenant au bord, je n’arrive pas à décider si la lueur est sinistre ou sensuelle. Le fait de voir les silhouettes de nombreuses personnes a tendance à la rendre plus sensuelle. J’entre dans l’eau et patauge jusqu’au jacuzzi. Il y a plus de gens dans l’eau chaude que dans l’eau froide. Comme je suis en quelque sorte en exploration, je continue jusqu’au sauna.

En m’approchant, Aphrodite m’informe que si je souhaite entrer dans le sauna, je dois demander de l’aide. Je lui dis qu’en fait, j’aimerais utiliser le sauna. Une jeune voix féminine me parvient à l’oreille et une main douce me saisit le bras.

« Suivez-moi, monsieur », dit mon escorte.

Elle me conduit à travers la porte et sur un banc.

« Quand vous voudrez partir, dites-le à Aphrodite et quelqu’un vous assistera » dit-elle, « Voulez-vous vous joindre à la conversation publique ? »

« Non, merci », je réponds.

Quelques minutes plus tard, je sens une caresse sur ma jambe, suivie d’une bouche sur ma queue. Avec toute l’activité que j’ai eue, sans jouir, je me lève rapidement. Assis là, profitant de la sensation, je me demande qui cela peut être. Je ne sais même pas si c’est une femme. Je demande à Aphrodite d’inviter la personne en face de moi à un audio. Après quelques instants, Aphrodite m’informe que la personne n’a pas accepté, ce qui m’incite à demander à Aphrodite de demander à la personne de me quitter. La bouche disparaît rapidement. Étant à nouveau sur ma faim, je décide de prendre les choses en main. Quelques minutes plus tard, je sens une présence à côté de moi et Aphrodite lance une invitation à la personne qui se trouve à ma droite. J’accepte, et c’est une voix féminine.

« Avec tout ce qui se passe ici, cela semble être un terrible gaspillage », dit-elle.

Je ris et lui raconte une version abrégée de ma courte histoire. Elle ajuste légèrement son corps avant que je sente sa main rejoindre la mienne sur ma queue.

« Laisse-moi faire », dit-elle.

Après plusieurs caresses très agréables, elle se déplace vers le sol et me prend dans sa bouche. Il est évident qu’elle n’est pas novice, et elle avale complètement ma queue. Pendant qu’elle fait des mouvements de haut en bas sur toute la longueur, sa main augmente la stimulation. Pour ajouter à mon plaisir, la belle salope nue utilise son autre main pour frotter la base de ma queue entre mes couilles et mon trou du cul.

Au bout d’un moment, j’en veux encore plus, alors je me baisse et la saisis par les épaules. Je la guide vers mes genoux, où elle me chevauche en plaçant ses pieds à plat sur le banc à côté de moi. Elle s’accroupit rapidement et abaisse sa chatte sur ma queue, la faisant glisser facilement. Je place mes mains sur ses hanches pendant qu’elle monte et descend. Avant longtemps, je suis prêt à exploser en elle. Alors que je commence à frémir, elle accélère le mouvement et se jette sur moi avec force, enfonçant ma queue profondément en elle. Après avoir accepté tout mon jism, elle saute, me dit qu’elle doit trouver quelqu’un d’autre, puis disparaît, son et tout.

La chaleur du sauna me détend complètement. Après plusieurs minutes, une escorte me fait sortir pour que je puisse me rafraîchir dans la piscine avec une boisson fraîche. Une fois rafraîchie, je demande à Aphrodite de localiser Marie pour moi. Lorsque le son s’estompe, je peux entendre sa respiration rapide.

Elle me souffle à l’oreille : « Merde, je croyais que tu m’avais oubliée. »

Je lui dis que j’ai été distrait par un cul huileux.

« Je vois comment tu es… », dit-elle.

Je rigole. Ne voulant pas la perturber, je lui dis de s’amuser et de me contacter quand elle aura fini. Avant qu’elle puisse répondre, je l’entends crier un orgasme. Je ne sais pas ce qu’on lui fait subir, mais je peux dire qu’elle aime ça.

Après qu’elle se soit remise, nous nous sommes arrangés pour nous retrouver ici dans la salle d’eau. Quand je l’ai trouvée, elle était au bidet, en train de laver ceux avec qui elle était. Elle me parle des deux gars qu’elle a eu pendant son absence. Aphrodite l’a mise en contact avec un homme dur et bien bâti qui était du type slam-bam, merci madame : exactement ce qu’elle voulait. Puis elle en a trouvé un autre qui a pris son temps et l’a fait progresser lentement, puis l’a fait basculer au moment où elle en avait besoin.

Je lui raconte ma triste histoire, qui ne suscite aucune sympathie. Puis elle me dit que pendant que j’attends le cul gras de Donna, nous devrions trouver quelque chose à faire. Nous nous promenons pendant un moment, et nous tombons finalement sur une pièce appelée la pièce « Swing ». Elle est remplie de hamacs, de frondes et de balançoires suspendues.

Marie décide qu’elle aimerait essayer un harnais et nous nous mettons à la recherche d’un harnais disponible. Ma première rencontre est avec un sling occupé. Je distingue la forme d’une fille, avec de longs cheveux qui pendent et la tête en arrière. Elle est bien dedans. J’attrape une poignée de cheveux, tire doucement sa tête en arrière et plante un baiser sur sa bouche. Avec mon autre main, j’attrape un sein. Elle répond par un gémissement d’approbation.

J’informe Marie de mes actions et elle me rejoint en s’approchant de la fille de l’autre côté. Elle embrasse également la fille, puis m’aide avec les tétons. Nous embrassons tour à tour ses lèvres et ses mamelons, avec une pause occasionnelle pour nous embrasser. Après qu’elle ait joui, nous passons à autre chose. En partant, je dis à Marie que je trouvais qu’elle avait le goût d’une rousse. Elle me gifle sur le bras et me lance une étiquette désobligeante dans la direction.

La prochaine fronde que nous trouvons est également occupée. Après quelques tâtonnements, nous constatons qu’il y a un petit homme dans la fronde qui se fait pilonner le cul par un homme beaucoup plus grand. Marie veut vérifier cela un peu plus, alors nous continuons notre exploration. Elle se penche sur la bite du petit homme, qui est également assez petite, et commence à la caresser. Nous recevons et acceptons une invitation audio.

Le petit gars est Steve, l’autre est Louie. Les mains de Steve se retrouvent sur les seins de Marie, qui se penche et l’embrasse.

« Il a aussi le goût d’une rousse », plaisante-t-elle.

Je lui dis que je vais la croire sur parole.

« Tu n’aimes pas ça ? » Steve demande.

« Pas la partie baiser », je réponds. « Rien de mal à une bonne sodomie, par contre, peu importe qui est le cul. »

Ils gloussent tous les deux. Louie me demande si j’aimerais avoir le tour du cul de Steve. Je refuse, en lui disant que j’avais hâte de me frotter à Marie en écharpe. Marie a d’autres idées, cependant.

« Je n’ai pas encore fini », dit-elle. « Ne le prends pas mal Steve, mais avec la taille de ta queue, je parie que tu te fais beaucoup de cul : littéralement. »

« En fait, oui », répond Steve. « La plupart des femmes aiment le sexe anal, en particulier à l’idée d’une grosse bite dans leur cul. En raison de ma petite taille, beaucoup me laissent les enculer. C’est une malédiction et une bénédiction. »

« Je veux essayer », dit Marie.

Louie m’aide à monter dans l’écharpe et à abaisser mon cul sur la queue fine de Steve. Elle glisse facilement, et je suis capable de faire rapidement un mouvement de va-et-vient complet, l’emmenant jusqu’au bout. C’est étrangement bon, comme un gros doigt, mais en mieux. Je serre les fesses de Steve et, avec Louie qui lui baise toujours le cul, il ne lui faut pas longtemps pour me remplir de jism.

Puis Louie attrape mes chevilles et les soulève en l’air. Il me dit : « Essaie ça pour la taille. » Il sort sa bite du cul de Steve et la positionne contre la mienne. Toujours pas sûr de vouloir ça, je demande à Anton de vérifier. Il se place derrière Louie et attrape sa bite.

« C’est énorme », dit-il. « Tu aimerais ça dans ta chatte, mais je ne suis pas sûr pour le cul. »

Son ton est celui de l’inquiétude, mais il a aussi un peu de défi à relever. Je décide que nous sommes ici pour de nouvelles expériences, donc je dis à Anton que je vais le faire. Louie pousse en avant et fait glisser la tête au-delà de l’anneau de mon cul. J’halète et je crie quand il commence à pousser. Les mains de Steve trouvent leur chemin vers mes seins, et ma propre main trouve son chemin vers mon clitoris.

Avec tous ces jeux de cul, je décide que je veux en faire partie. Je lubrifie ma bite et la place contre le cul de Louie, ce qui l’incite à se pencher un peu en avant sur Marie. En bougeant ses hanches d’avant en arrière, sa bite pénètre davantage dans le cul de Marie, et la mienne commence à pénétrer dans la sienne.

Les sons qu’elle émet semblent être une combinaison de gémissements et de grimaces, mais sa respiration rapide indique que cela fonctionne pour elle. Après plusieurs minutes, un bon rythme est établi par Louie qui fait entrer et sortir sa bite du cul de Marie, et la mienne de même. J’aime entendre Marie approcher de l’orgasme, qu’elle annonce bruyamment à son arrivée.

Après que ses spasmes se soient calmés, Louie accélère son rythme et son coup. Je dois commencer à bouger avec lui quand il plonge plus profondément. Il est beaucoup plus long que moi, et il pousse tout dans Marie. Après quelques coups supplémentaires, il serre les fesses et grogne en faisant gicler son sperme au fond de ses intestins. Je lui dis que je viens de me rappeler qu’elle a un rendez-vous la semaine prochaine pour se faire nettoyer les dents.

« Sans blague », dit-elle. Nous rions tous.

Je me retire du cul de Louie sans jouir, expliquant à Marie que je connais un cul beaucoup plus beau que je préférerais remplir.

« Le mien, ou celui de Donna ? » demande-t-elle d’un ton taquin.

« Celui de Donna », je réponds. « Le tien va être inutile pendant un moment après tout ça. » Je sais que si elle pouvait m’atteindre, elle me giflerait à nouveau.

On s’excuse auprès de Steve et Louie, et on se dirige vers les douches. Elle passe un temps fou au bidet, puis règle la température de la douche à un niveau assez élevé. Alors que nous nous lavons mutuellement avec de la mousse, elle me dit que je devrais essayer Steve. Elle explique que la sensation d’une petite bite fine dans son cul était particulière et elle veut savoir ce que j’en pense. Je lui dis que je vais y penser. Pendant que nous parlons, elle introduit un doigt savonneux dans mon cul.

Lorsque nous avons fini de nous rincer, nous nous dirigeons vers le jacuzzi pour nous reposer et nous détendre. Une fois installés, nous demandons à Aphrodite de nous inclure dans la conversation publique. La chaîne est étonnamment calme. Il semble que la plupart des gens soient ici pour se reposer, comme nous. Nous nous déconnectons de l’audio public et demandons à Aphrodite de commander une collation.

Marie commande une salade de crabe avec de l’avocat et des légumes verts, et je commande un plateau de fromage et de saucisses avec des raisins. Aphrodite peut commander à peu près tout ce que vous pouvez imaginer comme nourriture, tant que vous pouvez la manger avec vos mains dans le noir. Nous nous étions entraînés à la maison, et avons passé plus de temps à rire qu’à manger au début. Les boissons sont présentées dans des gobelets en plastique avec des couvercles anti-dégâts et/ou des pailles. Si nous pouvions nous voir nous promener avec des boissons, ce serait assez drôle : des adultes nus buvant dans des gobelets pour enfants.

Au moment opportun, nous sortons de la piscine, hésitons sous les séchoirs à cheveux dans l’entrée, puis nous dirigeons vers le restaurant. Une escorte nous conduit à la table où nous attend notre repas. Elle a l’air jeune, et je me demande si elle est nue, elle aussi. Je tends la main pour le savoir, et elle se rapproche de moi à mon contact.

« Oui, nous sommes nus, nous aussi », me dit-elle comme si elle lisait dans mes pensées. « Et, si vous le souhaitez, je peux vous aider avec votre repas. »

« Qu’en penses-tu, Marie ? » Je demande.

« Bien sûr, ça a l’air intéressant », répond-elle.

L’escorte demande à Marie si elle veut qu’elle nous serve toutes les deux, ou si elle préfère avoir sa propre escorte. Marie répond qu’elle aimerait avoir la sienne.

« Homme ou femme ? » demande l’escorte.

« Femme, je pense. Blonde, plus facile » dit Marie.

L’escorte informe Marie que son escorte sera avec elle sous peu, et isole nos canaux audio. Elle me dit qu’elle s’appelle Chantrice, et me conduit vers un divan.

« Allonge-toi ici », dit-elle, « et je vais te préparer à manger ».

Peu après le départ d’Anton et de son escorte, je suis rejoint par ma propre escorte. Elle s’appelle Elaine. Elle m’aide à m’installer confortablement et s’allonge bientôt à côté de moi. Alors qu’elle commence à me nourrir, je lui demande de me parler d’elle. Elle me dit qu’elle a travaillé pendant de nombreuses années comme serveuse dans un restaurant pour son beau-frère. Le week-end, elle travaille ici, essayant de rattraper beaucoup d’aventures manquées.

La sagesse et la subtilité d’une femme mûre sont les bienvenues. Pendant qu’elle me nourrit, ses doigts caressent doucement mes cheveux. Sa voix apaisante et son toucher délicat sont dignes d’une matrone, et je me sens très détendue et soignée. Lorsque je commence à être rassasiée, elle commence à caresser mes seins. Je m’allonge et la laisse me dorloter. Ses doigts doux font des cercles autour de mes aréoles, caressant délicatement les mamelons.

Après de longues minutes d’attention à mes seins, elle trace ses doigts jusqu’à ma chatte. Tout doucement, elle écarte mes cuisses et caresse l’extérieur de ma chatte, passant lentement entre les lèvres et répandant l’humidité qui s’y est formée comme lubrifiant de haut en bas sur toute la longueur. Son doigt continue de frotter de haut en bas, s’enfonçant de plus en plus, finissant par toucher mon clitoris au passage.

Au fur et à mesure qu’il passe sur mon ouverture, son doigt s’enfonce un peu plus à chaque fois. Ma respiration s’accélère et je suis de plus en plus excitée. Elle se penche et pose doucement ses lèvres sur ma bouche. Ses baisers accentuent très bien ce qu’elle fait à ma chatte. Elle a des lèvres douces et une langue délicate. Bientôt, mes hanches commencent à se balancer, suppliant son contact. De manière très coordonnée, elle insère deux doigts dans ma chatte, tout en massant mon clito avec son pouce.

Pendant ce temps, son petit doigt commence à répandre du jus vers le bas, vers mon anus. À mesure qu’elle s’approche, l’anticipation, ainsi que toutes les autres stimulations, suffisent à déclencher mon orgasme. J’enroule mes bras autour d’elle et la serre contre moi tandis que je savoure mon voyage dans l’extase. Lorsque mes tremblements se calment, elle s’allonge et me tire vers elle, me câlinant doucement.

Chantrice revient avec ma nourriture et s’assoit à califourchon sur moi. Alors qu’elle commence à me donner des morceaux de fromage et de saucisse, elle fait glisser son cul le long de ma queue qui grandit rapidement. Sa chatte glabre est bien lubrifiée, et elle se sent merveilleusement bien en glissant le long de ma queue. En remontant, elle se penche et pousse un sein dans ma bouche. Comme je suce, je peux goûter le chocolat, une sorte de mousse. Chaque cycle apporte un plaisir doux sur toute la longueur de ma queue, et se termine par une succulente friandise enrobée de mousse.

Après un certain temps, elle me demande si je suis prêt pour les raisins. Elle se lève, se déplace vers le haut, s’arrête et se met à cheval sur mon visage. Alors que je savoure le goût sucré de sa chatte avec ma langue, je me rends compte qu’un raisin est expulsé de sa chatte et offert à ma bouche. J’accepte avec empressement et un autre est produit. Attendez que Marie entende parler de ce talent. Chantrice continue à me nourrir de raisins avec sa chatte, s’arrêtant de temps en temps pour se resservir. En privé, j’aime l’idée de recevoir des cerises au prochain repas.

Une fois que j’ai eu ma dose de raisins, Chantrice glisse à nouveau vers le bas et guide ma bite dans sa chatte. Quand elle commence à bouger de haut en bas, je lui dis que je gardais cette charge pour un cul spécial. Elle me taquine en me disant que j’aurais dû commander des huîtres et continue son mouvement. Sa chatte particulièrement serrée, toute rasée et bien lubrifiée, m’incite à continuer. Avant longtemps, je la remplis avec la charge que j’avais réservée pour Donna. Je fais semblant d’être déçu, et Chantrice fait semblant de s’excuser en ricanant. Après un répit confortable, elle me dit qu’elle va m’escorter jusqu’à Marie, qui m’attend.

Alors que Marie et moi traversons le rond-point, nous passons devant une pièce où règne un rythme techno. Les sons durs nous intriguent, alors nous entrons. Une fois à l’intérieur, j’entends Marie haleter alors qu’elle est saisie par plusieurs mains et tirée. Des huées, des braillements et d’autres expressions de surprise jaillissent d’elle alors qu’on dirait qu’elle est malmenée.

J’ai été plié à la taille sur une sorte de barre rembourrée, et je suis attaché face contre terre. Mes jambes ont été attachées aux chevilles, avec mes pieds à plat sur le sol et écartés. La barre traverse mon corps au niveau des hanches, et une autre barre s’en détache et remonte le long de mon corps entre mes seins pour finir dans un berceau au niveau du cou, où un collier a été placé et fixé, me laissant immobile. Mes bras sont tirés derrière mon dos et attachés ensemble au poignet.

Anton et moi avions joué de temps en temps avec les entraves. allant du simple fait d’être attaché au lit, aux menottes et aux bâillons. Cependant, ce niveau de BDSM est quelque chose qui n’était qu’un fantasme pour nous. Quand nous avons parlé de rejoindre Aphrodite, cet aspect était intriguant.

Maintenant que je suis ici, j’ai peur et je suis excitée à la fois. Je me sens tout à fait vulnérable. Une partie de moi veut pleurer et se cacher, l’autre est tellement excitée que je pourrais éclater. Le seul son que je reçois est le rythme effréné de la musique. Je pense que mon cœur essaie de suivre le rythme.

Avec ma retenue apparemment complète, je ne peux que rester allongé ici et attendre. L’attente est presque insupportable. Pendant de longs moments, je ne sens personne près de moi. La peur commence à s’installer, et j’ai soudainement envie de faire pipi.

Alors que Maries se prépare, je perds son son. Une femme à la voix très autoritaire se connecte et dirige les activités autour de l’appareil. Il semble y avoir plusieurs personnes qui lui servent d’assistants. Elle est très verbeuse dans ses instructions, évidemment pour le bénéfice de ceux d’entre nous qui « observent ». Ses subordonnés sont tout aussi descriptifs lorsqu’ils exécutent ses ordres. Apparemment, Marie ne nous entend pas.

Le suspense est angoissant. Mon esprit part dans toutes les directions en se demandant ce qui va se passer ensuite. Puis c’est le coup de grâce. Un jet d’eau froide se déverse sur ma tête, me faisant reprendre mon souffle. Au même moment, mon cul est giflé brutalement à plusieurs reprises. Des mains attrapent mes cheveux mouillés et les tirent fermement en une queue à l’arrière de ma tête, où ils sont attachés.

Aussi vite qu’il avait frappé, l’assaut s’arrête. Je ne peux que me demander ce qui va suivre. Après une période qui semble longue, je sens une sonde fine et lisse s’introduire lentement dans mon cul. La réalité me frappe lorsque je sens que mes intestins sont remplis d’un liquide chaud. Je commence à paniquer quand je pense aux ramifications d’un lavement public.

Pendant son initiation, je me demande ce que Marie pense de tout cela. Je ne peux pas communiquer avec elle, mais je sais que si elle était mal à l’aise, une simple demande à Aphrodite mettrait fin à tout cela immédiatement. Je décide de procéder en supposant que c’est ce qu’elle veut.

Tenir l’énorme quantité de liquide en moi devient rapidement un problème et, alors que je me demande ce que je vais faire, le dispositif auquel je suis attaché commence à se soulever et à me faire basculer en arrière. Une fois que j’ai atteint la position assise, Aphrodite me dit poliment que je peux me « purger ». N’étant pas en mesure de faire quoi que ce soit d’autre, je suis sa suggestion, me permettant également de soulager ma vessie.

Après que l’appareil m’ait remis en position couchée, un déluge de jets d’eau me frappe des épaules jusqu’en bas. La température est assez fraîche, et la force du jet me pique la peau. Un volume d’eau particulièrement important semble se concentrer sur mon cul. J’ai l’impression d’être l’enfant du poster « propre comme un sou neuf ». L’eau s’arrête, et mon corps est parcouru de palpitations. Une fois de plus, je suis laissé dans la solitude.

Je me surprends à me crisper en prévision d’une nouvelle attaque. Mais la prochaine sensation est tout le contraire. Je sens un liquide chaud et épais, probablement une huile, être versé sur moi. De nombreuses mains, trop nombreuses pour être comptées, frottent doucement l’huile sur mon corps. Tout mon corps est massé sensuellement et je ne tarde pas à être excitée. Chaque fois qu’une main touche un sein, qui pend de manière invitante, mon excitation augmente considérablement. Les doigts sur mon postérieur font pénétrer habilement l’huile dans mon cul, effleurant sournoisement mes fesses avec des passages rapides et doux. L’huile atténue la douleur des gifles et des pulvérisations précédentes.

Je demande discrètement à Aphrodite de localiser Donna pour moi, me demandant si c’est ainsi qu’elle s’est fait huiler le cul plus tôt. Donna répond rapidement et accepte mon invitation à me rejoindre.

Bientôt, je sens une paire de mains sur mes hanches et une bite sur ma chatte. Comme les mains tirent, la bite glisse en douceur. Un rythme facile s’établit. Après plusieurs minutes, je le sens jouir en moi. La bite est retirée, rapidement remplacée par une autre.

On attrape la queue de mes cheveux et on la tire vers le haut pour relever ma tête. Une bite est présentée à mes lèvres, alors j’ouvre la bouche pour accepter. L’homme derrière la bite est agressif avec ses poussées et je suis bientôt en train de prendre toute sa longueur. Il continue à baiser ma gorge, et sa bite grossit et crache bientôt sa charge. Comme pour l’action dans mon dos, la bite usée est remplacée par une nouvelle.

Les mains saisissent et serrent mes seins. Doucement au début, puis de plus en plus fort. Un cordon est attaché, comme un lacet serré autour du mamelon. Elle est tirée continuellement, comme si un poids pendait de mes seins.

Donna arrive et me localise. Elle m’informe qu’elle a, en fait, été le centre d’attention dans cette pièce, mais pas aujourd’hui. Elle me conduit vers le périmètre et me décrit comment profiter des autres « plaisirs » de la pièce. Le sol autour de l’appareil central est ferme et grillagé pour laisser passer l’huile et l’eau, mais il n’est pas glissant.

Le sol autour du périmètre est spongieux et suinte de l’huile lorsqu’on marche dessus. De temps en temps, il y a une « piscine » doublée de latex qui est très glissante. Donna prend ma main et m’entraîne sur le sol. Nous nous embrassons et commençons à nous rouler dans l’huile spongieuse. Bientôt, nous sommes couverts d’huile.

Il y a une chaîne continue de bites plongeant dans et hors de moi aux deux extrémités. Au bout de quelques minutes, je sens qu’on m’insère quelque chose dans le cul. C’est un plug anal vibrant, assez grand pour que je puisse sentir la bite se frotter contre lui à l’intérieur de moi.

Puis je sens quelqu’un s’asseoir sur moi, comme si j’étais un cheval. Il ne met pas beaucoup de poids sur moi, mais je peux sentir les jambes et le cul. Il attrape ma main liée et enroule mes doigts autour de sa bite. Alors que je m’agrippe du mieux que je peux, il commence à bouger ses hanches, baisant ma main. Mon autre main est dirigée vers ses couilles, que je caresse.

Chaque fois qu’une bite usée est retirée de ma chatte, je me sens abandonnée. Jusqu’à présent, personne n’a touché mon clito. Cela devient un problème. J’ai besoin d’une stimulation qui me permette de me libérer. Mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, ma chatte est douchée, et une nouvelle série de bites est présentée.

Alors qu’une bite particulièrement grosse me conduit, la prise est retirée. Il retire sa bite et la place au niveau de mon anus. Alors qu’il plonge dans mon cul, mes pieds et mes côtes sont chatouillés. Je me tortille et me secoue de manière incontrôlée, ce qui produit manifestement l’effet désiré, car il remplit bientôt mon cul de sperme. Les chatouilles se calment et il se retire. Dès qu’une autre bite envahit mon cul, les chatouilles reprennent. Je commence à me sentir comme un manège de carnaval.

En me frottant contre Donna, ma bite grandit rapidement. Les jambes et les bras s’enroulent autour des corps lisses de l’autre alors que nous essayons de maintenir une prise. Elle frotte sensuellement son entrejambe contre ma cuisse. Je me mets en position derrière elle, m’alignant pour la baise du cul tant attendue. Mes bras s’enroulent autour de sa poitrine pour profiter de ses gros seins. La surface spongieuse me permet de m’allonger sur elle, appuyé sur mes coudes, et de continuer à jouer avec ses seins.

Lorsque ma bite commence à sonder son cul, je sens à quel point cela pourrait être difficile. Elle est si glissante que je ne cesse de glisser le long de sa fente. Après quelques tentatives, elle se penche en arrière et m’aide en plaçant la tête contre son cul. Je l’enfonce doucement au début, en essayant de savourer le moment. Il suffit de quelques coups de sonde pour que la tête passe son sphincter. Je retire la sonde et l’enfonce à nouveau plusieurs fois, en appréciant la sensation à chaque fois.

Après un certain temps, je commence à pousser un peu plus loin à chaque fois. Finalement, je suis dans son cul jusqu’à mes couilles. Pensant que j’aimerais pouvoir faire ça pendant des heures, je me rythme, savourant chaque coup. A en juger par sa respiration rapide, je suppose qu’elle utilise ses mains sur elle-même. Finalement, elle m’arrache à ma complaisance et me demande de la retourner. Je m’exécute.

Cette nouvelle position me donne un meilleur accès à ses seins, dont je profite pleinement, mais limite ma capacité à entrer et sortir de son cul. Au moment où je pense à la faire se retourner, je sens quelqu’un entre mes jambes. Un homme se positionne pour baiser sa chatte pendant que je suis dans son cul. La sensation de nos bites en elle en même temps est merveilleuse, et ses couinements et ses cris indiquent qu’elle est d’accord. Elle est rapidement prise d’un orgasme.

Je leur dis à tous les deux que j’aimerais faire tourner la fête et finir mon fantasme de cul sur le dessus. Ils sont tous les deux d’accord et, avec un peu de difficulté, nous parvenons à renverser la pile, pour finalement manœuvrer de façon à ce que Donna soit à califourchon sur l’homme en bas, et que je sois sur mes pieds, me penchant pour lui claquer le cul. Avec mes mains sur ses hanches, je m’équilibre du mieux que je peux. Elle a levé son cul vers le haut pour un meilleur accès. Après quelques poussées profondes, je suis enfin prêt, et je remplis son cul de mon jism.

Après que nous nous soyons séparés, je dis à Donna que je sais exactement où je vais mettre ça ensuite. Nous rions à l’idée de révéler à Marie qu’elle a nettoyé le cul de Donna avec ma bite. Je me mets en position à la tête de Marie, et Donna se dirige vers l’autre extrémité.

Enfin, je sens une stimulation sur mon clitoris. A en juger par la douceur du toucher, je suppose que c’est une femme. En quelques instants, j’atteins un orgasme frissonnant. Après une brève pause, les doigts reprennent, et je suis rapidement porté à nouveau à l’orgasme. Cette fois, elle continue sans faire de pause. C’est presque douloureux, mais d’une manière ou d’une autre, elle réussit à me faire jouir à nouveau.

Alors que mon excitation augmente, il semble que les événements tournent en ma faveur, et pour mon plaisir. Le plug anal est remplacé, les chatouilles cessent, et une bonne vieille baise est administrée à ma chatte. Des doigts attentifs continuent de s’occuper de mon clitoris. Le cavalier sur mon dos a disparu, et une bite flasque est placée doucement dans ma bouche. Lorsque les liens sont retirés de mes mamelons, un massage doux applique une sorte de pommade apaisante. Une pression suffisante est maintenue pour assurer une bonne stimulation.

Une fois que j’ai atteint mon orgasme final, toute la stimulation externe est retirée. Après avoir repris mon souffle et commencé à me détendre, de l’eau chaude et savonneuse est versée doucement sur mon corps. Des mains douces et fortes libèrent mes liens, me soulèvent de l’appareil et me transportent dans la salle d’eau. Après un nettoyage complet, on me conduit dans une chambre, on me place sur un lit moelleux et on me recouvre d’une couette. L’épuisement se combine au confort pour m’attirer dans le sommeil.